retable
bois
Hauteur : 232 cm Largeur : 265 cm
Bruxelles [BE]
Musée Art & Histoire
Sc. 130

En 1883, le banquier Lucien Félix Claude-Lafontaine achète le retable au comte de Tramecourt. À son décès, sa fille, épouse de Jean Emmanuel Bès de Berc, hérite du retable. Le 11 avril 1962, la collection Claude-Lafontaine est vendue à Paris au Palais Galliera, lot 50. Ce n'est qu'en 1994 que le Musée acquiert le retable auprès de la galerie parisienne Brimo de Laroussilhe.
  • Huysmans, Antoinette (éd.), La sculpture des Pays-Bas méridionaux et de la Principauté de Liége : XVe et XVIe siècles, Bruxelles, 2000, pp. 89-92 (cat. n°36) = FP15 730.949.3 ZZ HUYS
  • Périer-D’Ieteren, Catheline et Gesché-Koning, Nicole, Guide bruxellois des retables, Bruxelles, 2000, pp. 38-47 = FP15 726.520.949.3 BRUX ZP (fr)
  • D’Hainaut-Zvény, Brigitte, Miroirs du sacré. Les retables sculptés à Bruxelles, XVe-XVIe siècles: Productions, Formes et Usages, Bruxelles, 2005, pp. 166-167 (cat. n°A8) = FP15 726.52 MIRO
  • Bertrand, Étienne, Retable de la Passion, dans : Sculptures et objets d'art précieux du XIIe au XVIe siècle, Paris, Brimo de Laroussilhe, 10, 1993, pp. 56-63 = Farde retables > [BE] Bruxelles, MRAH
  • Impressions des photographies IRPA : KN010230 = Farde retables > [BE] Bruxelles, MRAH
  • BALaT KIK-IRPA : lien
  • RKD : lien
  • Carmentis MRAH : lien
  • Le retable ne possède aucune marque. Cependant, son apparence et les techniques de polychromie utilisées permettent de le considérer comme d'origine bruxelloise.
  • Le retable a été restauré en 1992-1993 : élimination de l'encrassement et suppression des lourds repeints.